Pauvreté des enfants en France (reportages)

on pourrait ajouter les photos de ma dissertation... (du fo des pp)

j'ai lu en entier l'article
c'est très honteux pour la France
je trouve cela révoltant que des enfant meurent dan des pay pauvre car on ne peut leur donner des soins
Mais c'est encore plus révoltant que des enfants soient si délaissés alors que nous sommes dans un pays très riche
et bien sur il n'y a pas que des enfants
heureusement qu'il y a des associations, mais ce serait surtout au gouverment d'agir, ce n'est pas si difficile, ils préfèrent juste les ignorer
je touve cela scandaleur

Oui.
Sujet déplacé et retitré.

Ce reportage n'est qu'une preuve de plus de l'hypocrisie de l'état. Chat errant et sa famille connaissent bien le sujet déjà développé sur un autre forum

Chat errant a écrit:

on pourrait ajouter les photos de ma dissertation... (du fo des pp)

 justement c'est ppur ca que je remonte le sujet

hier on a voulu aller aux camions des restos du coeur

mais pas de camions
c'est l'été et la restriction budgetaire

Prince Kévin a écrit:

Chat errant a écrit:

on pourrait ajouter les photos de ma dissertation... (du fo des pp)

 justement c'est ppur ca que je remonte le sujet

 et donc re up
vous éditerez

moi je vaisessayer de dormir

ok

lu...

Chat errant a écrit:

on pourrait ajouter les photos de ma dissertation... (du fo des pp)

Je suis dessus mais il y a 8 pages, et plusieurs topics
alors je cherche

Prince Kévin a écrit:

hier on a voulu aller aux camions des restos du coeur

mais pas de camions
c'est l'été et la restriction budgetaire

et pour info, ils ont eu le même souci hier : pas de camion de soupe populaire (à un autre lieu de distribution), sans doute il n'y a pas assez de bénévoles en été alors les lieux sont très rares et avec plein de monde, 2 heures de queue parmi les clochards, dans la rue quel que soit le climat



je continue à chercher les reportages

je crois que j'ai trouvé



Bon je ne copie pas tout, juste l'essentiel :

Octobre 2011, Kévin a écrit:

-

restos du coeur enfants faisant la queue?


restos du coeur enfants



non c'est pas dans un pays en voie de développement c'est en France
la preuve
http://www.le-modele-antisocial-francais.com/8-millions-de-pauvres-en-france.php

Kévin a écrit:

en fait il dort pas : il est mort
(reportage)
tout autour on voit bien comme les gens se sente concerné



"politique familiale"

Kévin a écrit:

blog coté enfants /fille à la rue

Kévin a écrit:

65 % des demandes d’hébergement d’urgence rejetées

article 27 juillet 2011 :
« Alors que le secrétaire d’Etat au logement Benoist Apparu a récemment déclaré au Monde.fr « il est hors de question qu’une seule famille se retrouve à la rue. Un enfant ne dort pas dehors, en France, en 2011 », une enquête de la Fnars est venue le faire mentir. La Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale a procédé à une enquête auprès des 115 (le numéro d’appel pour les personnes sans-abri) de 34 départements. Et le résultat est édifiant : seules 35 % des demandes d’hébergement d’urgence ont pu être satisfaites le 20 juillet, date de l’enquête. Une demande sur trois.
« Un enfant ne dort pas dehors, en France, en 2011 », disait Apparu.
Dans 82 % des cas, les refus étaient motivés par un manque de places dans les centres d’hébergement d’urgence. Un constat peu surprenant au vu de l’actualité récente : Xavier Emmanuelli, fondateur du Samu social, a démissionné le 20 juillet, estimant que la situation financière de la structure « n’est plus gérable » ; et la mairie de Paris a annoncé l’allocation d’une « subvention exceptionnelle » au Samu social de la capitale afin de combler le désengagement de l’Etat. »

Kévin a écrit:

http://www.terrafemina.com/societe/solidarites-engagement/articles/1358-deux-millions-denfants-pauvres-en-france.html



bon ça ira bien, on a d'autres liens comme ça mais ça reviens toujours au même constat
et si on sait lire entre les ligne on voit bien que le système fait en sorte que les plus démunis ne puisse plus s'en sortir car il y a trop de monde et que les plus faibles doivent être exterminé de façon sournoise

et même les associations caritatives et même les grosses fondations sont obligés de fermer petit a petit car on leur donne plus de subvention, c'est comme ça que mon papa a perdu son boulot en septembre

Admin a écrit:

Encore une histoire sordide qui passe juste en ce moment au journal de 20h00 sur TF1, si vous n'en avez pas entendu parler :
un couple qui vit dehors, sous une tente dans les bois, la maman a accouché et le bébé est mort, sans doute à cause du froid. Les responsables des associations parlent encore du manque de moyens donnés pour loger des familles qui sont de plus en plus nombreuses, etc.  

Admin a écrit:

lien :

http://www.leparisien.fr/paris-75/bebe-de-sdf-mort-dans-la-rue-delanoe-s-en-prend-a-l-etat-02-11-2011-1698299.php

Jules a écrit:

J'ai vu les infos aussi, ils ont en parlé vers la fin du journal. La vie d'un enfant c'est moins important que le match de foot, ou le référendum sur la zone euro, ou encore qu'une star américaine ait pris 30 jours de prison...

Et sinon ça s'arrange un peu Morrigan, vos soucis avec les administrations ? ( je demanderai aussi demain à Fab.)

Kévin a écrit:

Isaac a écrit:

Pauvre bébé! On dit qu'on est tous égaux à la naissance, quelle blague! Moi à sa place je serai mort aussi tant j'étais fragile, il n'a pas eu ma chance... Oh mais que faire... Je vais en parler tres intensément a ma mere, et meme ma famille, les adultes sont toujours plus influents, ils pourront peut-etre au moins y reflechir et entrer dans des associations, donner un peu d'argent, ma mère n'est pas riche mais mon beau père l'est peut-etre qu'elle pourrait le convaincre!

Coluche a dit : "les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent."

Pauvre bébé, pauvres parents.





Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

(Fables de La Fontaine)

(c'est un peu hors sujet mais ça peut se rapprocher)

'Hide' en partie, car ça ne concerne pas les visiteurs
(pour lire le message il faut être inscrit et poster ou avoir posté dans ce sujet)


.....



Comme on voit dans les reportages, l'Etat, le gouvernement, ne fait rien du tout, ça les arrange sans doute...

Voilà c'est pas pour pleurer misère, mais pour dénoncer et pour faire savoir que ça existe et que ça peut arriver à n'importe qui, alors ceux qui font un bon repas tranquillement et confortablement chez eux devant leur télé peuvent avoir une petite pensée pour les autres.
 

lu..Miserable,et malheureux. Quand on lit tous ce que vous avez mis on a comme l'impression d'avoir un gros coup de poignard.
Je connais aussi cette chanson que j'avais mis dans coup de gueule/coeur/blues la dernoere fois quand on avait parlez de la misere de Kévin et tout.
https://www.dailymotion.com/video/xei2j9_eric-toulis-brahim-haiouani-la-java_music

Je vais mettre la suite qui nous concerne dans un nouveau sujet, dans les rubriques "soucis problèmes".

Comme ça on garde ce sujet là pour tous, pour les reportages en général, quoi qu'on en a fait le tour maintenant.

Voilà, la suite (plus personnelle pour nous) est ici (cliquer ici)

ok lu :/

moi aussi
honte à la France et à l'Europe avec sa crise (qui n'existe pas pour tout le monde, les riches, les PDG, les ministres et tout ça, ils mangent bien largement à leur faim... avec les sous des autres en plus)

Journée mondiale du refus de la misère 17 octobre 2013
17 octobre "Combattre la pauvreté, c’est combattre les préjugés"

Un des aspects les plus forts de la violence de la misère est le mépris que subissent trop souvent les personnes en situation de grande précarité. L’extrême violence est celle qui réduit sa victime au silence, elle n’ose pas réagir. Du coup, personne ne sait qu’il y a eu violence.



Cette année la Journée mondiale du refus de la misère sera centrée sur le combat contre la discrimination pour précarité sociale.
L’ONU lance ce mot d’ordre : « Ensemble vers un monde sans discrimination. En s’appuyant sur l’expérience et la connaissance des personnes dans la grande pauvreté ».

Pour sortir du silence et trouver cette paix intérieure, il faut être certain que son expérience ne sera pas niée. La République interdit de traiter quelqu’un différemment à cause de son sexe, de son origine ethnique, de sa religion, de son orientation sexuelle. Cela ne change pas tout, mais les gens qui sont traités différemment savent que c’est interdit et osent le dénoncer. Et les esprits peuvent progresser petit à petit.

C’est humiliant et dévastateur d’être traité de « clochard » ou de « cas soc’ », d’être traité différemment parce qu’on habite un quartier pauvre, parce qu’on porte une carte CMU ou à cause de son allure portant les stigmates de la misère, rien de cela n’est reconnu.
Notre pays peut faire ce pas de civilisation.

Nous invitons nos concitoyens à demander la reconnaissance par la loi de la discrimination pour cause de précarité sociale. Signez la pétition sur www.jeneveuxplus.org


Découvrez les événements près de chez vous et les affiches de la journée 2013 sur le site www.refuserlamisere.org/france 



MOBILISER LA SOCIÉTÉ CONTRE LES IDÉES REÇUES

C’est pourquoi ATD Quart Monde a publié le livre "En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté" recensant 88 idées reçues. Il s’adresse aux citoyens curieux, à tous les militants et syndicalistes en quête des informations simples et précises pour conforter leurs convictions.
En partenariat avec des associations (Secours Catholique et Emmaüs, Scouts de France, etc.). Préfacé par le Défenseur des Droits.
En vente depuis le 12 septembre dans les meilleures librairies et surwww.editionsquartmonde.org 5€ - 200 p. Éditions Quart Monde et Éditions de l’Atelier. 





Mis à jour le dimanche 13 octobre 2013

Plus d'infos, liens, aide __ sur la page :
http://www.atd-quartmonde.fr/Journee-mondiale-du-refus-de-la,2599.html

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http://videos.tf1.fr/jt-20h/2013/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-8293990.html

(Reportage sur le journal de 20h00 de TF1 aujourd'hui)

cette vidéo du journal de 20h00 TF1 montre bien notre situation (et encore, nous c'est pire, un peu plus critique)

oui

http://www.unicef.fr/contenu/actualite-humanitaire-unicef/2013/11/19/france-1-enfant-sur-5-en-situation-d-integration-sociale-precaire-20812


Communiqué
France : 1 enfant sur 5 en situation d’intégration sociale précaire
A l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant (20 novembre), l’UNICEF France publie les résultats de sa Consultation nationale des 6-18  ans, effectuée auprès de 22 500 enfants et adolescents vivant en France. Cette dernière met en lumière que près d’un enfant sur cinq (17%) vit dans une situation d’intégration sociale précaire dont 7% sont « déjà pris dans un processus de disqualification sociale », selon le rapport.

Publié le mardi 19 novembre 2013
Dernière modification le mardi 19 novembre 2013



Cette enquête exceptionnelle par son ampleur a été menée de février à juillet 2013 dans 73 Villes amies des enfants réparties sur tout le territoire, ainsi qu’à partir d’une plate-forme web dédiée. Elle a proposé aux participants de répondre à 133 questions couvrant les grands domaines de leur vie quotidienne et les aires essentielles de l’exercice de leurs droits. L’analyse sociologique des résultats statistiques, recueillis et compilés par TNS-Sofres, a été confiée à Serge Paugam (CNRS/EHESS/ENS), sociologue reconnu pour ses travaux sur la pauvreté et les inégalités sociales tandis que Catherine Dolto a accompagné le projet de son regard de médecin et thérapeute.
 
Lors d’ateliers proposés dans les accueils périscolaires, les centres de loisirs, les écoles, les collèges et les lycées ont apporté toutes leurs richesses et leur spontanéité à cette étude. A travers leur propre perception, ils nous livrent sans calcul ni complaisance, la perception qu’ils ont de l’exercice de leurs droits et des conséquences directes de la pauvreté sur leur vie quotidienne. Cette initiative est une première.
 
"La spirale du malheur"
 
Au-delà d’établir la proportion d’enfants et d’adolescents en situation de pauvreté, l’analyse des résultats de la Consultation souligne le lien entre précarité et exclusion sociale. Les 14,5% d’entre eux qui sont en situation de grande ou d’extrême privation voient également leur qualité de vie se dégrader proportionnellement à leur niveau de pauvreté. Vivant dans la précarité, ils se perçoivent aussi, plus en difficulté à l’école ou dans leur famille, plus éloignés du système de soins, plus marginalisés dans leur quartier, plus en insécurité dans leur environnement proche et moins associés à la vie de la collectivité que les autres enfants. Face à cette situation inacceptable, Catherine Dolto évoque « la spirale du malheur », une triple ou une quadruple peine.
 
« Notre République ne remplit pas son rôle de protection des plus vulnérables », selon Michèle Barzach, Présidente de l’UNICEF France. « La France est l’un des pays de l’OCDE qui dépense le plus pour ses enfants, sa protection sociale et son système éducatif ; pour autant, elle ne parvient pas à combattre efficacement les conséquences de la pauvreté ni à enrayer le cercle vicieux de l’exclusion chez les enfants et les adolescents ».
 
Fournissant des éléments statistiques et sociologiques-clé, la Consultation est essentielle à l’UNICEF France pour interpeler des pouvoirs publics. A cet égard, ses résultats ont été remis conjointement ce matin à Mme Bertinotti, Ministre déléguée à la famille et Mme Pau-Langevin, Ministre déléguée à la réussite éducative.
 
 
L’UNICEF France appelle de ses vœux :
 
-    La définition et la mise en œuvre d’une politique de l’enfance globale et transversale, du plus jeune âge à la fin de l’adolescence.
 
-    Une politique et un plan d’actions faisant clairement de la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale des enfants et des adolescents une priorité.
 
-    Une nécessaire cohérence entre les politiques nationales et locales. Les collectivités locales, notamment les Villes Amies des Enfants sont des laboratoires d’innovation sociale capables de proposer des solutions. Leur expérience doit être prise en compte et passées à l’échelle quand elles font leurs preuves. A l’inverse, lorsque des politiques nationales sont transférées au niveau local, les moyens doivent être donnés pour agir.
Grâce au réseau des villes participantes, les résultats de la consultation seront partagés avec les enfants et adolescents pour co-construire des réponses adaptées. En cela, la consultation prouve aussi à quel point elle constitue un outil innovant de reconnaissance et d’écoute des enfants et des jeunes.