[Débats] Droits de l'Enfant : journée internationale, critiques...

20 novembre
journée internationale des droits de l'enfant

Généralités et liens



La journée internationale des droits de l'enfant est la date anniversaire de la signature de la Convention internationale des droits de l'enfant le 20 novembre 1989 par 191 pays.


Résumé Wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_internationale_des_droits_de_l'enfant


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http://www.droitsenfant.org/






Critique des Droits de l'Enfant



http://www.droitsenfant.org/critique-droits-enfant/


....

ouais bon
mais tout le monde s'en fout si on crève alors te fatigue pas, il a même pas été lu le topic

on avait déjà fait un début d'exposé, j'avais oublié :
https://mome.exprimetoi.net/t571-leparisien-pauvrete-des-enfants-en-france-reportage


ça se résume en une phrase les droits de l'enfant :
<< tu fermes ta gueule et tu crèves en la gardant fermée si tu veux pas crever en souffrant plus >>

Vive la france

Alors Jules je suis d'accord avec toi mais juste une chose : tu dis "Facile de ne rien voir, encore une fois, quand ça va, quand on a une vie à peu près normale, à peu près confortable. Le pire c'est que c'est ces gens là qui se plaignent. Et qui ne font pas grand chose pour aider les autres..." Je comprend en partie ton indignation mais un peu d'indulgence : ce n'est pas évident de se rendre compte car c'est tabou, on n'en parle pas sinon... Et qu'ils se plaignent... ce n'est pas évident parfois de relativiser et puis si on en va par là, on aurait jamais le droit de se plaindre vu qu'on peut toujours trouver pire que soi. Bon tu as le droit de me dire que ce sont des arguments de fille gâtée née avec le c*l dans le beurre. C'est ce que je suis.

Après je suis plutôt d'accord avec la critique. J'aime bien ce qu'ils disent à propos de l'âge. C'est vrai que chacun grandit à son rythme. Il y a des gens qui à 40 ans ne se sentent pas adultes. On parle de plus en plus d'"adulescence" pour les jeunes adultes. Mais si on tiens compte de ça, rendez-vous compte de la compléxité pour l'application des droits de l'enfant concrètement.

Après je ne suis pas tout à fait d'accord avec le début. Je trouve que le "principe" de donner des droits (et des devoirs qui ont été oubliés comme àa été dit) aux enfants n'est pas à jeter. C'est sacré l'enfance, il faut la protéger, et l'enfant est un Homme certes, mais un Homme à part (et pas inférieur). Il est plus vulnérable niveau physique et émotionnel, plus dépendant. C'est normal qu'il ait donc des droits spécifiques en plus des droits accordés à l'Homme je trouve.

Floti-Girl a écrit:

Alors Jules je suis d'accord avec toi mais juste une chose : tu dis "Facile de ne rien voir, encore une fois, quand ça va, quand on a une vie à peu près normale, à peu près confortable. Le pire c'est que c'est ces gens là qui se plaignent. Et qui ne font pas grand chose pour aider les autres..." Je comprend en partie ton indignation mais un peu d'indulgence : ce n'est pas évident de se rendre compte car c'est tabou, on n'en parle pas sinon... Et qu'ils se plaignent... ce n'est pas évident parfois de relativiser et puis si on en va par là, on aurait jamais le droit de se plaindre vu qu'on peut toujours trouver pire que soi. Bon tu as le droit de me dire que ce sont des arguments de fille gâtée née avec le c*l dans le beurre. C'est ce que je suis.

Floti-Girl
Je ne vais pas trop argumenter par solidarité pour Kévin et les autres (pour le break internet) (puisque c'est trop calme ici). Mais je vais quand même te répondre. Comme ça j'en profite aussi pour les autres lecteurs.
Mon indignation elle n'est pas contre les gens du peuple car on est de leur côté. Elle est contre les gens du gouvernement, ceux au pouvoir, les riches-ripoux, enfin tu vois / vous voyez ce que je veux dire.
Notre indignation elle est contre ces gens là qui font beaucoup de bruit en parlant des droits de l'enfant et en disant qu'ils les protègent



Il y a bien une criminalité organisée au plus haut niveau des classes sociales. Dans tous les pays développés.
C'est peut-être tabou ou ignoré, pas beaucoup parlé parce qu'il y a aussi d'autres préoccupations pour tout le monde bien sur (la vie de tous les jours), souvent on ne croit pas que c'est possible aussi...

Mais il y a des groupes qui font en sortent que ça ne soit pas trop ignoré, par exemple les anonymous pour ne citer qu'eux parce qu'ils sont assez connus et c'est facile de trouver sur internet ce genre d'infos.

Et on voit bien que la pauvreté ne cesse d'augmenter, aujourd'hui encore on dit qu'il y a de plus en plus de monde aux associations caritatives comme les restau du coeur, et ça ce n'est pas de la rumeur.
L'Etat, blindé de thunes, et qui peut donner des milliards à droite à gauche, ne donne rien à ces associations qui doivent faire appel aux gens du peuple et aux subventions des mairies.

Etc, etc.



Non je me permettrais pas de dire que ce sont des arguments de fille gâtée née avec le cul dans le beurre. D'abord je ne connais pas ta vie, et puis même ce qui est important c'est ce qu'on a dans le coeur, pas dans le porte-monnaie.

Et tu peux écrire cul normalement, on n'est pas sur momes ici, il n'y a pas de répression ni de dictacture comme l'a avoué jacoline de momes.net (voir preuve dans cette catégorie) avant de fermer un topic de Kévin par vengeance personnelle et injuste car il avait rien fait, juste il a cité ses propos.

Floti-Girl a écrit:

Après je suis plutôt d'accord avec la critique. J'aime bien ce qu'ils disent à propos de l'âge. C'est vrai que chacun grandit à son rythme. Il y a des gens qui à 40 ans ne se sentent pas adultes. On parle de plus en plus d'"adulescence" pour les jeunes adultes. Mais si on tiens compte de ça, rendez-vous compte de la compléxité pour l'application des droits de l'enfant concrètement.

Après je ne suis pas tout à fait d'accord avec le début. Je trouve que le "principe" de donner des droits (et des devoirs qui ont été oubliés comme àa été dit) aux enfants n'est pas à jeter. C'est sacré l'enfance, il faut la protéger, et l'enfant est un Homme certes, mais un Homme à part (et pas inférieur). Il est plus vulnérable niveau physique et émotionnel, plus dépendant. C'est normal qu'il ait donc des droits spécifiques en plus des droits accordés à l'Homme je trouve.

En fait la critique dans le site on l'a à peine lue, c'était juste pour argumenter (dénoncer) derrière sans aucun rapport avec ce qui est dit dans cet article.
Mais on est d'accord à peu près tous sur le principe d'adulescence.

Pour le reste je ne sais pas, je n'ai lu que le titre de l'article dans le lien.
Les droits de l'homme qui ont été "accordés" c'est bien un lapsus révélateur, qui se traduit par << on n'a pas le choix puisque sinon vous allez nous faire une révolution, donc pour faire genre, on vous pond une Déclaration des Droits de l'Homme au fin fond de notre loge maçonnique, mais c'est pas pour ça qu'on va toujours la respecter hein, même au 3ème millénaire...>>

C'est un peu comme les manifestations :
- les manifestants : " on veut une augmentation de 200 € !!! "
- les dirigeants : " non vous n'aurez rien ! "
- les manifestants : " on va faire grève ! [et prendre le petit peuple en otage, car on n'a pas les couilles pour se révolter contre vous, ou alors on n'est pas assez nombreux pour ça] "
- les dirigeants : " bon on va négocier. On vous accorde 20 € "
- les manifestants : " victoire ! on a gagné ! vite allons dépenser ces 20 € au bistrot pour fêter ça ! "

Un peu caricatural, mais quand même : ridicule.


Pour revenir à l'application des droits de l'enfant concrètement, tout en restant en France, pour résumer il y a dans certains cas [constatés] une grande différence entre les beaux discours politiques et la froide réalité sur le terrain.
Ça n'a rien à voir avec l'adulescence des jeunes adultes mais avec le pouvoir qu'on a donné à ceux qu'on a élu, en principe pour défendre ceux d'en dessous.
Par exemple, quand les services sociaux enlèvent des enfants à leurs parents alors qu'il n'y a ni maltraitance, ni faute de soins ou d'alimentation, ni quoi que ce soit de grave, ils sont où les droits de l'enfant ? Tout ça pour les mettre dans des foyers pas toujours sans danger, où ça sera la loi du plus fort, avec des fois des châtiments corporels, ou encore dans des familles d'accueil en séparant les frères et soeurs, ou encore plein d'autres trucs injustes dans un pays comme la France. Et pareil dans beaucoup de pays modernes.
Aux Etats-Unis, la police a le droit de tirer sur des enfants avec des armes de guerre (fusil ou pistolet). En France aussi maintenant, grâce à une nouvelle loi qui est sortie discrètement mais qu'on peut lire quand même dans les journaux officiels (là où sont écrites les lois).
C'est ça les droits de l'enfant ? Si ça continue, ça va finir par une guerre civile... c'est dans les bruits qui courent...

Ha d'accord Jules pardon. J'avais mal compris le sujet de ton indignation. Et oui là j'approuve entièrement. Mais bon ce n'est pas nouveau qu'en politique il y a beaucoup d'hypocrisie.

Je sais que je peux écrire c*l normalement ici mais ça me gêne un peu. J'essaie d'éviter d'être vulgaire (même si dès fois il y a des mots qui m'échappent évidemment). Et je n'avais pas d'autre expression en tête à ce moment là.

Après, dans tous les systèmes de l'Histoire, il ya eu des abus, que ce sois en dictature, en démocratie, sous le communisme en URSS, sous la royauté au Moyen Age. Le problème, c'est que le problème justement ne viens pas du système (ou du moins pas entièrement) mais des gens qui sont prêts à tout pour en profiter. Et ce sont souvent eux qui sont au gouvernement.

Sauf qu'ils ne vont rien profiter du tout car s'ils continuent sur cette lancée là, c'est l'extinction de la race humaine, en commençant par l'Europe. Les scientifiques commencent à émettre des hypothèses à ce sujet. M'enfin on verra bien, nous ou nos descendants.


Effectivement je sais que les droits de l'enfant ne sont pas toujours respectés ou mis en application en France de nos jours - et en grande partie par les organismes gouvernementaux.
Après que ça soit de la faute des politiciens - ou plus exactement du N.O.M. qui les gouverne tous - ou du "système", je m'en tape. Ça revient au même puisque le système ce sont ceux qui dirigent qui le contrôle, et pas le SDF du coin de la rue.
Et ce que je vois c'est que c'est nous qui subissons. Toujours en précisant qu'il y a aussi des périodes moins craignos, et que notre plus grande force est une certaine philosophie même si souvent "y'en a ras le bol" - et qu'on ne va pas se laisser faire comme ça non plus.

Administration a écrit:

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Mercredi 20 novembre 2013

Journée Internationale des droits de l'enfant




"Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité."
Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies

C'est en 1995 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la 'Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l'enfant'. Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l'enfant de 1989.


Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l'Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu'un enfant n'est pas seulement un être fragile qu'il faut protéger mais que c'est une personne qui a le droit d'être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l'endroit du monde où il est né.

Et aussi qu'il a le droit de s'amuser, d'apprendre et de s'exprimer.

Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s'engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous.
Promouvoir les droits des enfants, c'est tout d'abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder.

C'est à ce prix que les droits de l'enfant seront véritablement respectés.

L'UNESCO a toujours accordé une place significative à l'enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l'appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.


La situation en France et dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l'Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l'enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l'éducation.

Enfant en France :

• Un million d'enfants pauvres = 1 enfant sur 5
  
• 19.000 enfants maltraités
  
• 76.000 sont en danger dans un contexte familial dégradé et qui menace leur développement éducatif et/ou matériel
  
• quelque 240.000 enfants placés ou pris en charge
  
• 85 000 sont touchés par le saturnisme
  
• record des suicides des 15-24 ans.
  
• 150 000 filles et garçons quittent chaque année le système scolaire sans aucune perspective
  
• 15 000 ne suivent pas leurs cours alors qu'ils sont inscrits au collège ou au lycée et qu'ils n'ont pas encore 16 ans.
  
• 15 % des enfants qui arrivent au collège ne comprennent pas ce qu'ils lisent
  

Même si la France traite globalement bien ses 15 millions de moins de 18 ans, elle "peut mieux faire", résumait récemment le Conseil français des associations pour les droits de l'enfant (Cofrade).

Le 14 décembre, l'Unicef sortira son rapport annuel intitulé "Enfants exclus, enfants invisibles", sur les enfants qui ne sont pas enregistrés à l'Etat civil ou les enfants de la rue.

Fin 2004, le même rapport indiquait que plus d'un milliard d'enfants sur Terre, soit plus de la moitié au monde, "souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida.

En 2005, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…
Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l'UNICEF est surement l'une des plus connues, c'est pourquoi nous vous conseillons de découvrir, ou de redécouvrir, l'oeuvre de l'UNICEF.



Un site à visiter : www.droitsenfant.org


Source :  http://www.journee-mondiale.com/98/journee-internationale-des-droits-de-l-enfant.htm

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Intéressant ce sujet. Je suis d'accord avec Prince Jules parfois ils disent cela mais ne font rien...