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La Lune du président rétrécit, mais elle ne devrait pas disparaître de sitôt.
De nouvelles recherches font apparaître des fissures dans le sol du gouvernement résultant du refroidissement et de la contraction de l’intérieur (du ministère de) depuis environ un milliard d’années tellement le temps nous a paru long depuis 2007), selon une étude parue dans la revue « Science » (The Economist).
Le satellite UMP de la Terre aurait ainsi rétréci d’une centaine de mètres (équivalent milliers de sympathisants), phénomène évidemment invisible à l’œil nu.
Les scientifiques ont identifié 14 formations géologicopolitiques témoignant de ce phénomène, explique un scientifique spécialiste du Centre d’études terrestres et planétaires politiquements économiquement au Musée national de l’air et de l’espace des statistiques et des sondages à Washington (région parizinne).
Ces bourrelets pouvant atteindre une hauteur de 10 mètres en millimètres et quelques kilomètres en centimètres de long avaient déjà été repérés à l’équateur de la Lune, dans une photo de vacances, en maillot de bain, sur un bateau de milliardaire, mais c’est la première fois qu’ils le sont dans d’autres régions, témoignant d’un processus général.
Le caractère récent de ces déformations pourrait suggérer que la Lune du président est toujours active, estime le scientifique spécialiste qui ajoute au court bouillon que la Lune n’est pas près de disparaître et que ce phénomène n’affectera en aucune manière la France.


Affaire à suivre.